les possibilites de terrasse en bois

Avec la tendance croissante de l’outdoor living, il est aussi logique d’accorder plus d’attention à la terrasse. En effet, pourquoi ne voudriez-vous pas avoir une jolie terrasse? Pour cela, le bois est un matériau très reconnaissant et utile. Il y a évidemment l’aspect nature du bois et le bois a un certain caractère que d’autres matériaux n’ont pas. De plus, vous ne nous y brûlerez pas le pieds lors de journées estivales.

Pourquoi le bois?

Lorsque vous demandez autour de vous pour quelle raison quelqu’un préfère une terrasse en bois, vous entendez souvent la même chose. Le bois est authentique. L’apparence naturelle. Le bois a du caractère. La couleur et l’aspect. Le cachet. Par ailleurs, le matériau s’adapte à quasi chaque style de terrasse et est, somme toute, assez facile à appliquer et installer.

(Pas trop de) chaude sensation

Le bois réagit aussi assez bien à la température. Un sol en bois est agréable à fouler, également lors de journées estivales ensoleillées. C’est nettement moins le cas d’une terrasse en pierre naturelle. Le bois rayonne aussi moins de chaleur lors de telles journées chaudes, ce qui vous permet de rester assis dehors. Même histoire lors des journées froides: il est plus agréable de marcher pieds nus sur le bois que sur la pierre naturelle qui laissera une sensation glacée dans ces circonstances. En contrepartie, le bois se dilate ou se rétracte à des températures élevées ou basses. Du reste, ce gonflement ou cette contraction diffère selon l’essence.

Facile à entretenir

Le bois ne nécessite pas non plus beaucoup d’entretien. Il est conseillé de retrousser ses manches chaque année – ou deux fois par an – pour récurer la terrasse. Pour cela, vous utilisez une brosse, de l’eau et un savon ou un produit de démoussage. Il existe aussi des produits pour conserver la couleur du bois mais ceci est purement pour l’esthétique.

Planches ou dalles

Le bois de terrasse se présente sous deux formes: d’une part les planches, d’autre part vous pouvez utiliser les dalles. Dans la majorité des cas, on installera un plancher. Etant donné que le bois ‘vit’, vous compensez plus facilement l’éventuelle différence de dimensions avec des planches. Cette forme fait aussi figure de standard. Les caractéristiques spécifiques diffèrent évidemment selon l’essence.

Suivre son temps

Bien que le bois ait en soi un caractère intemporel, une terrasse en bois évolue. De récentes évolutions accordent la préférence au composite. Cette combinaison des fibres du bois avec le plastique s’est développé en un matériau de grande valeur ces dernières années, et continue encore d’évoluer aujourd’hui. Le composite combine une grande stabilité avec un beau look qui ne cède en rien devant le bois dur tropical. En fait la seule chose qui manque au composite, c’est cette typique sensation de bois authentique.

Invisible

Par ailleurs, on voit de plus en plus souvent des fixations invisibles; les vis visibles sont moins jolies à regarder. L’avantage complémentaire est d’avoir moins de zones d’accumulation de l’eau.

Quand il pleut à Paris …

En France a été publié un DTU (document technique unifié, comparable à nos notes d’informations techniques) qui prescrit la ventilation entre le chevron et la planche. Il n’est pas encore question de telles prescriptions chez nous, quoique des fabricants, actifs sur le marché tant belge que français, proposent des solutions en ce sens. Ceci accroît les chances d’utiliser ceci dans notre pays.

Finies les nervures

Aujourd’hui on ne veut plus voir que des sols de terrasse rabotés planes; les profils nervurés semblent ne plus se vendre. L’un dans l’autre, cela peut être lié au fait qu’un sol de terrasse nervuré n’est pas moins lisse qu’un sol égal. De plus, ces nervures peuvent agir comme lieu de rassemblement des particules de saleté et d’humidité et que la croissance des algues y est stimulée. Vous pouvez aussi le combattre avec un produit de pulvérisation algicide; de plus, ces nervures masquent les défauts, comme de petites fentes pouvant apparaître avec le temps.