“LE BUT ULTIME, C'EST QUE LE CLIENT SE SENTE CHEZ LUI DANS SA MAISON”

ALL-BOUW DE ROULERS VOUS PROPOSE SES CONSTRUCTIONS SUR MESURE

All-Bouw, situé dans la Iepersestraat à Roulers, bâtit depuis 22 ans des maisons sur mesure pour ses clients. Si cette activité principale a toujours été réalisée dans le même esprit, l'entreprise a subi de nombreux changements ces dernières années. All-Bouw cible à présent trois piliers en son sein, à savoir les RH, l'informatique et les investissements. Depuis cette année, ces profonds changements internes ont pris encore plus d'importance avec la rénovation complète du bâtiment de l'entreprise. Le bâtiment rénové n'est pas seulement prévu pour accueillir le personnel, mais sert aussi de maison témoin.

A PROPOS D’ALL-BOUW

All-Bouw a été fondée en 1997 par Jean Marin et son épouse Katrien Alleman-Keirsebilck, les parents du gérant-propriétaire actuel Simon Alleman. "L'origine et le développement de notre entreprise suivent un peu l'histoire classique", commence-t-il. "Le tout premier contrat de mes parents consistait à installer un bureau dans une vieille chambre à coucher, et c'est de là que tout est parti. Ma mère et mon père ont commencé avec deux personnes, mais aujourd'hui, 25 personnes travaillent ici. Je suis moi-même depuis pas moins de treize ans maintenant dans ce secteur, dont les huit ou neuf dernières années en tant que gérant. Ma femme Chloé Van Eecke nous a aussi rejoints depuis deux ans. Elle s'occupe principalement de la génération de prospects, des ventes, du marketing et de la gestion administrative. En tant qu'entreprise familiale, All-Bouw en est déjà à sa deuxième génération."

ACTIVITES

Sur mesure

Lors d'un projet de maison sur mesure, Simon cherche à offrir à ses clients le meilleur accompagnement possible: "Nous partons du principe que nos clients doivent se sentir chez eux dans leur nouvelle maison à la fin du chantier. C'est pourquoi nous commençons toujours par évoquer les souhaits du client. Les gens qui ont déjà un terrain en tête, peuvent passer, mais ceux qui n'en ont pas, sont tout aussi bienvenus. Les deux tiers des maisons que nous construisons, sont bâties sur des terrains que nous fournissons nous-mêmes."

Lorsque le terrain à bâtir est choisi, nous réalisons un plan sur mesure – toujours avec un dessin en 3D – et un cahier des charges. Enfin, nous déterminons aussi le prix total. Nous faisons tout cela dans la phase sans engagement. Nous allons donc déjà très loin en termes de temps consacré sans garantie de chantier. Cependant, ce n'est pas un pro­blème, parce qu'avec cette approche, force est de constater que beaucoup de clients restent chez nous pour réaliser leur projet."

"En termes de prix, nous ne cherchons pas à être les moins chers, mais nous ne voulons certainement pas être les plus chers. Nous avons délibérément choisi de nous positionner quelque part entre les deux. Avec All-Bouw, nous voulons proposer des constructions sur mesure pour tous, avec des matériaux solides et ce, au juste prix."

Réalisations de qualité grâce aux équipes et aux partenaires choisis

Au-delà de la phase sans engagement, le vrai travail doit encore commencer. "Pour ce qui est du cœur de nos activités, la réalisation de la construction, nous pouvons compter sur une équipe solide", explique Simon Alleman. "Nous travaillons avec des sous-traitants très fidèles. En fait, je n'aime pas utiliser le terme sous-traitants, pour moi ce sont tous des partenaires. Je connais personnellement ces personnes, je peux leur parler ouvertement et je peux toujours les contacter en cas de problème. On peut parler de tout. De plus, ils nous permettent de garantir un travail à la fois rapide et de qualité. L'exécution est toujours fiable et minutieuse, et le délai d'exécution reste court."

"Si la maison est là et que nous avons remis la clé aux propriétaires, ce n'est pas pour autant que nous en avons terminé avec eux. Nous ne nous en allons pas comme ça, nous nous engageons à assurer un suivi des défauts et problèmes éventuels. Nous le faisons sans aucun problème, car le contact avec nos partenaires est très bon. Bien que la construction soit notre tâche la plus importante, ce n'est qu'une partie du service complet que nous offrons. Et cela montre que nous sommes plus qu'un simple entrepreneur."

Réaffectation de sites

En plus de leurs petites parcelles habituelles sur des terrains à bâtir neufs, All-Bouw opte de plus en plus pour la réaffectation d'anciens sites depuis quelques années. "Nous voulons créer des quartiers agréables, avec des places de parking pratiques, un abri à vélos commun, des espaces verts, etc. Et pour cela, nous préférons réaménager quelque chose qui était autrefois un endroit sale. La limitation annoncée des nouvelles constructions est en partie liée à cette décision, mais je veux aussi que mes enfants et mes petits-enfants puissent encore profiter d'espaces verts pour jouer au football. Et si c'est ce que vous voulez, mieux vaut ne pas transformer chaque bout de terrain en zone à bâtir. Je peux dire avec fierté que 80% des terres achetées cette année sont dans un endroit abandonné de ce type."

RETROSPECTIVE SUR LES ACTIVITES

Après 22 ans, la tâche principale d'All-Bouw est toujours de construire des maisons adaptées aux besoins du client. Aujourd'hui, cependant, ce n'est plus aussi évident. "Alors que, dans le passé, une maison était toujours construite sur mesure, aujourd'hui, il y a beaucoup de nouvelles formules", poursuit Simon. "Les entrepreneurs ne construisent plus des maisons, mais des rues entières tout de suite. Nous avons donc envisagé de suivre cette évolution. Mais pour nous, cela nous a fait du bien de continuer sur le même plan. Nous aimons simplement répondre à leurs attentes, principalement pour les familles privées. Nous avons donc choisi de continuer et même de renforcer ce que nous savions déjà si bien faire."

TROIS PILIERS ESSENTIELS

Simon Alleman souligne cependant que l'entreprise a changé depuis qu'il en a repris les rênes: "Au cours des cinq dernières années, j'ai marqué l'entreprise de mon empreinte. En effet, nous avons travaillé de manière ciblée autour de trois piliers."

Ressources humaines

"Tout d'abord, nous avons commencé à penser différemment la façon dont nous traitons nos employés. Nous avons 25 employés ici, il n'est pas possible pour tout le monde de venir voir le gérant en cas de problème. Mon ambition est de travailler avec des équipes auto­gérées. En attendant, je peux déjà dire que l'entreprise est bien structurée, ici et là nous pouvons déjà parler de départements."

"De plus, nous avons repensé totalement la façon dont nous recrutons nos nouveaux employés. Nous sommes maintenant supervisés par une per­sonne qui gère un dernier test après le troisième entretien d'embauche. Il ne s'agit pas d'un test d'aptitude ou d'un test psychologique, mais d'une analyse de la personne assise devant nous. Qui est-ce, quels sont ses bagages, quels sont ses points à améliorer, ... Ainsi, nous avons réussi à éviter des problèmes majeurs."

"Et puis après, il y a plus de suivi. Nous voulons aider nos employés à grandir de manière active. Nous le faisons par le biais de formations, de coaching, d'ateliers de communication, etc. Il y a aussi une évaluation annuelle avec nos employés, et le test que nous faisons passer pour un éventuel recrutement, est répété tous les deux ou trois ans. Ainsi, vous pouvez facilement voir comment vos employés ont évolué: où en étaient-ils, lorsqu'ils ont com­mencé leur carrière, et où en sont-ils aujourd'hui?"

"Le but est de pouvoir compter sur les meilleures personnes à chaque poste et sur chantier", souligne Simon Alleman. "Les gens qui commencent à travailler ici, n'arrivent pas en étant les meilleurs, mais je veux créer une plateforme pour qu'ils le deviennent. Tout ce que j'attends d'eux, c'est de la volonté et des connaissances pour y arriver, je m'occupe du reste."

Ecosystème IT

"Ensuite, nous sommes en train de déployer un système numérique unique pour notre secteur”, poursuit Simon. ”Dans le passé, nous travaillions ici comme tout le monde d'une manière très classique: un plan dans AutoCAD, un modèle 3D dans SketchUp, un cahier des charges dans Word, etc. Mais en fait, c'est de la folie, parce que c'est comme ça qu'on perd rapidement le fil des choses. C'est pourquoi, tout d'abord, nous avons tout renouvelé au niveau matériel. Nous travaillons maintenant avec un serveur hybride et nos fichiers sont stockés en partie ici et en partie dans le cloud."

"En termes de logiciels, nous avons opté pour une base en Microsoft Dynamics, un système ERP assez complet. De plus, nous utilisons Gbuild – un module de construction GMI – pour rendre notre logiciel plus compatible avec nos activités. Entre-temps, nous avons ajouté aux supports Dynamics et Gbuild toutes sortes de paquets satellites, tels que le paquet Office, le programme ArchiSnapper pour faire des rapports de site, TiMaster pour organiser la planification, etc."

"Au sein de notre ERP per­sonnel, tous les progiciels sont reliés les uns aux autres. Par exemple, si quelque chose est modifié dans l'outil de planification, une facture est automa­tiquement créée et le client la reçoit immédiatement dans sa boîte aux lettres. De plus, une grande partie du calcul du prix est entièrement automatisée et les spécifications du cahier des charges sont aussi en grande partie présélectionnées par le logiciel."

"Nos clients peuvent ainsi facilement trouver tous les documents nécessaires tels que les factures ou les plans de construction. A l'avenir, les fournisseurs et les clients auront toujours accès à ces documents, au moins pendant dix ans après la livraison. C'est utile, p.ex., si la maison change de propriétaire pendant cette période."

"L'ensemble du support informatique est donc assez vaste et ambitieux, mais je pense qu'une fois que le système sera opérationnel, nous économiserons beaucoup de temps et, surtout, d'argent. Le module de comptabilité, ArchiSnapper et TiMaster sont déjà fonctionnels, donc notre logiciel fonctionne pour environ 60%. D'ici décembre, nous devrions atteindre environ 80% et nous espérons que notre système ERP sera pleinement opérationnel d'ici l'été 2020."

Investissements

"Enfin, nous investissons aussi dans l'argent. C'était nécessaire, car nous voulions nous concentrer davantage sur la réaffectation de sites désaffectés. En choisissant de trouver un financement, nous pouvons maintenant aussi réaliser des projets plus importants et traiter plusieurs grands projets en même temps. Parce que quand vous voyez un projet réalisable aujourd'hui, vous devez savoir que ces lots ne seront pas sur le marché avant deux ans au plus tôt."

CHANGEMENTS EN INTERNE

Ces dernières années, non seulement le fonctionnement intérieur de All-Bouw a changé, mais il y a aussi eu beaucoup de changements à l'extérieur du bâtiment. Entre-temps, la salle d'exposition rénovée a même été rebaptisée 'la plus grande maison témoin de Flandre occidentale', mais ce n'était en aucun cas le but initial de cette rénovation complète.

"L'idée de tout changer date de 2016, lorsque nous avons eu besoin de douches pour nos maçons”, explique Simon Alleman. ”Ce petit changement était presque là, mais nous avions l'impression qu'il nous manquait encore d'autres choses. Nous n'étions pas assez visibles de la rue, nous manquions cruellement de places de parking et nous n'avions pas de place pour organiser des réunions avec toute l'équipe."

"Dans un premier temps, nous avons réalisé un parking et un bureau temporaire à l'arrière de l'immeuble le temps de gérer la rénovation. Au cours de la deuxième phase, un nouveau bâtiment a été construit. Enfin, au cours de la troisième phase, une rénovation intérieure a été réalisée et la façade a été achevée. Ainsi, nous avions plusieurs bâtiments qui se sont retrouvés en un seul et même ensemble."

"Nous avons délibérément choisi des briques pour habiller la façade, parce que nous construisons tout en briques. Cependant, nous voulions ajouter un mur qui n'existait pas encore. En fin de compte, nous avons opté pour un motif de parement complexe, et cela n'a pas du tout été évident. Chaque couche de briques a un joint de renforcement et aux angles, les briques ont été sciées en onglet et collées. C'était donc très technique, mais le résultat est vraiment impressionnant. Notre façade sert aussi à attirer l'attention depuis l'extérieur."

"Alors que nous disposons désormais d'une salle d'exposition spacieuse qui offre un accueil chaleureux à chaque client, le bâtiment est avant tout au service de tous nos employés. Cela nous permet de laisser nos employés travailler dans le meilleur environnement possible. Nous avons délibérément choisi d'utiliser des produits et des matériaux que nous utilisons dans nos constructions lors de la rénovation, afin de pouvoir partager nos expériences d'utilisation avec nos clients. C'est donc une situation qui profite à tout le monde."

DE BELLES PROMESSES D'AVENIR

Simon Alleman est convaincu que son entreprise est promise à un bel avenir: "Je suis certain que All-Bouw continuera de construire des logements sur mesure. Mais nous devons deviner à quoi ressembleront ces besoins en matière de logement d'ici 50 ans ou quelles seront exactement les techniques utilisées. Cela peut partir dans tous les sens, surtout maintenant avec la limitation des nouvelles constructions en perspective."

"Mais je ne pense pas que ce soit une mauvaise initiative. Bien au contraire. De telles mesures stimulent notre créativité. J'irais même jusqu'à dire que, grâce aux règles destinées à regrouper les zones d'habi­tation, nous avons déjà réalisé quelques beaux projets. En fin de compte, nous pouvons vraiment compter sur du personnel très compétent ici. Et nous donnons le meilleur de nous-mêmes, lorsque nous devons tirer pleinement parti de nos connaissances. Donc, même si la situation devait se compliquer pour nous, nous serons toujours en mesure de trouver une solution appropriée", conclut Simon.

BNI RODENBACH

"Il y a environ quatre ans, je suis devenu membre de la BNI Rodenbach. La BNI est une organisation en réseau au sein de laquelle les membres s'échangent des recommandations”, explique Simon Alle­man, qui est d'ailleurs le président de l'année de travail en cours. ”Aujourd'hui, la BNI Rodenbach compte 70 membres, ce qui fait de nous la plus grosse division de Flandre et des Pays-Bas. Grâce à la BNI, j'ai pu étendre considérablement mon réseau. Et cela nous a déjà rendu service, c'est d'ailleurs par le biais de l'organisation que j'ai rencontré l'architecte – Pieter Verfaillie de bow architecten – et l'architecte d'intérieur – Inte­rieurbureau Vandecandelare – qui ont rénové nos bâtiments, lors d'une réunion de la BNI Rodenbach!"